Sous ce nom issu du grec eutrapelia (souple, spirituel) se cache une des vertus (selon Aristote et Saint Thomas), plus précisément celle de la propension à plaisanter, à tenir des propos amusants, à faire des mots d'esprit.
Source: une collection de bières locales dont les noms reprennent des vertus
Contrairement à ce que l'on pourrait croire, le terme allophone n'a rien à voir avec la téléphonie. Il s'agit d'un terme inventé au Québec, du grec allow (autre) et phonos (le son, la voix), qui désigne les personnes dont la langue maternelle n'est pas la ou les langues officielles du pays.
Ce quebecisme ne s'applique pas aux autochtones, mais plutôt aux touristes, immigré·e·s, ou travailleurs expatriés.
Source: ma femme, qui suit une formation pour aider les enfants allophones en classe primaire.
(Oui, je sais, cela fait presque un an que je n'ai pas écrit. Mais bon... )
Aujourd'hui je viens vous parler d'adelphes. Pour ma part j'en ai trois, ma mère en a deux, mon père en avait cinq, et ma grand mère en avait six. Ceux qui me connaissent personnellement auront peut-être deviné, adelphe (du grec adelphós, littéralement “dans la matrice”) est un nom générique pour désigner à la fois un frère et une sœur. À l'instar de matricule, il peut donc être utilisé à la fois au masculin et au féminin.
Je dois avouer que je suis très heureux d'avoir (enfin) trouvé un mot français qui soit la traduction exacte de l'anglais siblings.
Source : ma femme, via un article de Laurel
Petite particularité de la langue Française que je ne découvre qu'aujourd'hui, grâce à un (excellent) sketch de Max Bird. Œdipe (celui du mythe et du complexe) se prononce Édipe.
Comme tous les mots qui possède un e dans l’o suivit d'une consonne, le symbole se prononce comme un é (comme dans fœtus ou phœnix par exemple). C'est seulement lorsque l'o-e collés est suivi d'une voyelle que l'ensemble se prononce eu (comme dans œil ou bœuf).
Il en est de même pour tous les autres mots provenant du grec, ayant un œ suivi d'une consonne : éstrogène, ésophage, et donc édipien.
Longtemps que j'en suis sorti, et pourtant je ne savais même pas cela. Le Lycée était un gymnase situé à Athènes près duquel Aristote (-384,-322) enseignait. Le bâtiment devait son nom aux loups sculptés qui le décoraient (en grec, loup se dit lycos).
D'ailleurs lycée se traduit par gymnasium en Allemand et en Néerlandais. Oui mais comme je faisait Espagnol au lycée...
Source : une recherche sur Google.